Bienvenue dans notre blog dédié à l'univers du cinéma et des jeux vidéo ! Aujourd'hui, nous allons plonger dans un sujet qui fait déjà couler beaucoup d'encre : l'absence de baiser à la fin de Twisters. Ce film, qui est sorti récemment, a suscité de vives discussions parmi les cinéphiles et les gamers. Découvrons ensemble pourquoi ce choix controversé n'a pas été la faute de Steven Spielberg, mais plutôt celle des projections tests.
Un reboot qui a surpris : <em>Twisters</em>
Twisters est un reboot tardif d'un film controversé sorti en 1996. À la surprise générale, il a été salué comme l'un des blockbusters les plus efficaces de l'été 2024. Les personnages de Daisy Edgar-Jones et Glen Powell ont captivé le public avec une chimie indéniable, mais le film est marqué par son dénouement sans baiser, ce qui a laissé de nombreux spectateurs perplexes.
Pourquoi pas de baiser ?
Lors d'une session de questions-réponses, le réalisateur Lee Isaac Chung a révélé que Steven Spielberg, producteur du film, n'était pas responsable de la décision de couper le baiser, qui avait pourtant été filmé. Les audiences tests se sont révélées « super polarisantes », provoquant des doutes au sein des studios quant à la présence d'une telle scène romantique. Chung a expliqué que, bien que Spielberg ait souhaité que le baiser figure dans le film, les réactions mitigées des spectateurs ont conduit à cette décision.
Les implications de cette décision
Cette situation soulève des questions plus larges sur la façon dont les studios de cinéma prennent des décisions créatives en fonction des réactions du public. Dans une période où Hollywood semble s'éloigner des romances traditionnelles, cela fait réfléchir sur l'état des films grand public. Bien que le dénouement ambigu entre les personnages fonctionne, beaucoup auraient préféré une fin plus classique pour un film qui, par ailleurs, respecte les conventions du genre.
Conclusion : qu'en pensez-vous ?
Que vous soyez pro-baiser ou adepte de l’ambiguïté, Twisters nous rappelle l'importance de la créativité artistique face aux attentes du public. Peut-être que dans le futur, les réalisateurs oseront davantage exprimer des moments d'amour dans leurs œuvres. Quoi qu'il en soit, ce débat sur l'absence de ce simple acte de tendresse nous pousse à nous interroger sur la direction que prend l'industrie cinématographique.
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